Les actualités de la Grande Guerre en 2016
Les camps de prisonniers
C'est en effet à partir du deuxième semestre de 1915 que le gouvernement commence à mettre les milliers de prisonniers détenus sur le territoire national, à la disposition des industries et des exploitations agricoles.
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Les blessé de la Grande Guerre
Sur une population totale de 39 millions d'habitants, le nombre des blessés militaires français durant la première guerre mondiale peut être estimé à plus de 3.5 millions, dont plus d'1 million d'invalides
(amputés, mutilés, aveugles, sourds, gueules cassées).
L'étrange nuit de Noël 1916
Il était une fois un Poilu, pas tout à fait comme les autres. Ses camarades l’appellent le Courrier. C’est lui qui leur apporte les lettres et les paquets des familles. Ce soir du 24 décembre 1916, il part avec 2 sacs remplis à craquer pour rejoindre la ligne de front. Il sait que ses camarades attendent avec impatience leurs messages de Noël.
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L'incroyable histoire de la cosaque Marina Yurlova
Cette fille d’un colonel cosaque n’est qu’une adolescente lorsque le conflit éclate. Elle vit alors auprès de sa famille dans la région du Kouban, près de la mer Noire. Mais le jour de la déclaration de guerre en août 1914, son destin bascule en quelques heures. Elle se retrouve embarquer dans le cortège de soldats en direction du front.
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La gamelle du poilu
L’armée apportait donc un soin tout particulier à l’alimentation des soldats. Il y a en effet deux facteurs qui garantissent le moral des troupes : la nourriture, et le courrier, presque aussi important que la soupe d’ailleurs comme en témoigne l’écrivain Henri Barbusse, engagé volontaire dans l’infanterie.
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Verdun, une victoire française
Décembre 1916, les Français ont retrouvé un partie de leurs positions de février. Les Allemands, encore présents sur la rive gauche de ma Meuse, ne sont pas parvenus à atteindre les objectifs fixés par leur état-major.
Verdun n’est pas tombée… Et l’armée française n’a pas été détruite.
Louis Delozanne, le dessinateur du front
Envoyé sur les pires théâtres d’opération, il emporte toujours avec lui de petits calepins au papier de mauvaise qualité. D’abord en noir et blanc, puis en couleur grâce à des crayons trouvés sur le front, il dessine son quotidien de soldat.
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Les mascottes russes
Sur les bateaux et dans les trains parmi les 20 000 soldats, une invitée de marque : l’ours MICHKA, le porte bonheur du corps expéditionnaire, acheté par les officiers eux-mêmes. Pendant toute la guerre, le plantigrade, aussi impressionnant qu’attachant, va vivre au milieu des troupes.
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Elisabeth, la reine infirmière
Lorsque les Allemands envahiront la Belgique, elle dira : « entre eux et moi, un rideau de fer est tombé.» Elisabeth est désormais belge, à tout jamais. Elle passe les 4 longues années de la guerre, ici, à La Panne auprès de son mari.
Elle apporte régulièrement son soutien aux blessés de l’hôpital de l’Océan.
Saint-Adresse, la capitale d'exil
Le 14 octobre 1914, le gouvernement belge débarque au Havre. La France a accordé l’extra-territorialité à la Belgique.
Désormais, Sainte-Adresse est passée en, territoire belge, elle devient alors capitale administrative et politique du royaume.
La Panne, ville libre
Grâce à l’inondation volontaire de la plaine de l’Yser, l’armée belge peut se replier dans cette petite partie du royaume restée libre. C’est le cas de La Panne où le roi Albert, commandant en chef de l’armée choisit de s’installer auprès de ses troupes.
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L'interdiction de l'absinthe
En 1914, 3 000 personnes vivent directement ou indirectement de l’absinthe à Pontarlier,
exportant 15 millions de litres dans le monde entier.
Six frères dans la guerre
Paul ne le sait pas encore. Mais son plus jeune frère est mort, quelques jours plus tôt, dans l’Aisne.
Auguste était lieutenant.
Il a été touché alors qu’il mettait ses hommes à l’abri. Paul fait l’apprentissage du combat.
Le canon du fusil toujours brûlant qui réchauffe les doigts.
Joffre et Foche évincés
Il aura bientôt 65 ans, limite d’âge pour exercer un commandement. Le gouvernement est divisé quant à son avenir. Finalement, il est maintenu à la tête de ses armées. Mais, après l’enlisement de l’offensive, il est sacrifié.
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Hommage aux poilus qui combattaient sous une fausse identité
L'inventaire révèle que des Alsaciens avaient été recrutés par l'armée française sous un faux nom.
Pourquoi ? Tout simplement pour leur éviter des représailles par les Allemands.
En 1914, en effet, l'Alsace-Lorraine, ce morceau du territoire français, est allemande depuis la guerre de 1870.
L'abbé Liévin Thésin, espion et résistant de 14-18
Le prêtre est entré dans la résistance dès les premiers mois du conflit : " il va d’abord aider les soldats britanniques qui se trouvaient dans la région de Mons à fuir vers les Pays-Bas. Et via les réseaux de résistance catholiques actifs dès 1915, il va créer lui-même un réseau d’espionnage, le " Service du Sacré-Cœur, actif à partir de 1915, et qui va regrouper des personnes qui vont espionner pour le compte des Britanniques ".
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Les progrès de la médecine de guerre
Dans les postes de secours les blessés reçoivent les premiers soins.
Ils sont amenés dans des hôpitaux d'évacuation puis transférés par train sanitaire vers des centres spécialisés.
C’est aussi l’invention de l’« autochir » : un hôpital qui peut se déployer au plus près du front.
La pelouse du cimetière de Saint-Gilles
La pelouse d’honneur du Cimetière de Saint-Gilles, à Uccle, vient d’être rénovée.
Celle-ci abrite les dépouilles de 1650 soldats de la Grande Guerre.
Joseph-Félix Bouchor, le peintre du front
En 1914, Bouchor a 61 ans. Il est trop vieux pour s’engager, mais il va se servir de son pinceau. La défaite de 1870 est restée sur le cœur des Français. La soif de revanche se retrouve jusque dans les tableaux.
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Les brancardiers de 14-18
Persuadés que le conflit serait rapide, les états-majors n’avaient pas anticipé les besoins en brancardiers. La guerre de position et ses ravages changent tout. Il faut plus de secouristes en première ligne. Ces hommes sont mineurs, maçons, charcutiers, religieux. Des brancardiers musiciens leur prêtent aussi main forte.
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Les coloniaux à Verdun
Pendant la bataille de Verdun, le recours aux troupes coloniales est resté limité. Elles étaient surtout mobilisées pour l’offensive dans la Somme qui constituait la principale préoccupation du commandement français.
L’ardeur au combat de ces hommes en fait une force idéale pour mener des offensives.
Mata Hari, l'espionne frivole
On imagine la guerre secrète menée par cette femme fatale. Pourtant, Mata Hari fut une espionne de pacotille, victime d’un jeu trop grand pour elle. Français et Allemands l’ont manipulée. Elle en est morte, fusillée.
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Les marraines de guerre
Les premières marraines sont soutenues par la presse. L’Écho de Paris ou la Croix lancent leurs propres œuvres. Mais d’autres journaux flairent l’aubaine. Fantasio et la Vie parisienne ouvrent leurs colonnes à des petites annonces peu ambiguës, dessins suggestifs à l’appui.
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Les munitionnettes des usines d'armement
Le textile a ses midinettes. Les usines d’armement auront leurs munitionnettes.
Nombre d’entre elles viennent d’ailleurs du textile, attirées par de meilleurs salaires.
La barrière électrifiée du Sundgau
Dès les premiers mois du conflit, l’état-major allemand craignant les désertions alsaciennes, fait ériger une première clôture composée de fils de fer barbelés. Les craintes de l’état-major sont d’ailleurs fondées car effectivement les désertions se multiplient à coups de cisaille dans les fils barbelés.
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