La Grande Guerre
Drapeau de l'Empire ottoman en 1914

Empire ottoman

1299 - 1923

Armoiries


Informations

  • Chef d'État : Mehmed V
  • Statut : Monarchie constitutionnelle
  • Capitale : Constantinople
  • Langue : Turc ottoman, arabe, persan
  • Monnaie : Akçe
  • Religion : Islam sunnite
  • Devise : Devlet-i ebed müddet - L'empire éternel
  • Hymne national : İstiklâl Marşı - Marche de l'Indépendance
  • Drapeau : Il se réfère à tous les drapeaux utilisés par les sultans régnants de la dynastie ottomane à travers le temps. À partir de 1793, le drapeau rouge et blanc comportant une étoile et une lune est utilisé. Il devient officiel en 1844. Bien que l'Empire ottoman soit démembré en 1923, le drapeau survit en devenant le drapeau de la Turquie moderne.

    Drapeau de l'empire ottoman

Géographie

  • Superficie en 1914 : 1 780 000 km²
  • Superficie en 1923 : 783 562 km²
  • Population en 1914 : 18 500 000 habitants dont 12 000 000 de Turcs
  • Population en 1918 : 14 600 000 habitants

Empire ottoman en 1914       

23 vilayets de l'Empire ottoman

  • Europe
  • Andrinople - Vilayet-i Edirne
  • Asie
  • Adana - Vilayet-i Adana
  • Alep - Vilayet-i Halep
  • Ankara - Vilâyet-i Ankara
  • Aidin - Vilâyet-i Aidin
  • Bagdad - Vilâyet-i Bagdad
  • Bassora -Vilâyet-i Basra
  • Beyrouth -Vilâyet-i Beyrut
  • Bitlis - Vilâyet-i Bitlis
  • Constantinople - Vilâyet-i İstanbul
  • Diyarbekir - Vilâyet-i Diyarbakır
  • Erzurum - Vilâyet-i Erzurum
  • Hedjaz - Vilâyet-i Hicaz
  • Hüdavendigâr - Vilâyet-i Hüdâvendigâr
  • Kastamonu - Vilâyet-i Kastamuni
  • Konya - Vilâyet-i Konya
  • Mamouret-ul-Aziz - Vilayet-i Ma'muretül'aziz
  • Mossoul - Vilâyet-i Musul
  • Sivas - Vilâyet-i Sivas
  • Syrie -Vilâyet-i Suriye
  • Trébizonde - Vilâyet-i Trabzon
  • Van - Vilâyet-i Van
  • Yémen - Vilâyet-i Yemen


Informations

  • Fondé en 1299 à Iznik, par Osman bey, au nord-ouest de l'Anatolie, l'Empire ottoman s'est rapidement étendu sur trois continents avec pour centre le bassin oriental de la Méditerranée. Le 29 mai 1453, le sultan Mehmet II prend la ville de Constantinople qui devient aussitôt la capitale de l'empire jusqu'à sa dissolution en 1923. L’empire entame son déclin dès le XVIIe siècle. La grande crise arrive en 1774 avec la perte de provinces tant dans les Balkans, qu'au Moyen-Orient et qu'en Afrique. En 1821, une insurrection éclate en Grèce en faveur de l'indépendance qui sera proclamée en 1830. Les troupes françaises débarquent en Algérie la même année sans que les troupes ottomanes puissent intervenir. À l'aube de la Grande Guerre, l'Empire ottoman tombe en ruines et tente de sauver ce qu'il peut en s'alliant aux puissances centrales.

Politique

  • L’empire ottoman a développé au cours des siècles une organisation d’État reposant sur un gouvernement très centralisé avec le sultan comme dirigeant suprême, tant civil que militaire et religieux, qui exerce un contrôle effectif sur les provinces, les sujets et les fonctionnaires. L’Empire ottoman n'a pas de titres héréditaires, mais des offices révocables par le sultan, tels que les vizirs, pachas et ağas. La richesse et la position sociale ne sont pas reçues en héritage, mais peuvent être acquises par la reconnaissance des mérites. Le service militaire est un élément clé de l’avancement dans la hiérarchie. Au sommet du système politique se trouve le sultan. compte tenu de la polygamie et de nombreuses fratries ou demi-fratries issues des harems, la compréhension de l'exercice du pouvoir doit tenir compte du jeu de relations entre le sultan, ses différentes femmes et les relations qu'il entretient ou établit avec ses enfants, ses frères et ses sœurs. À la fin du XVe siècle, une classe de hauts fonctionnaires se développe. La majorité d'entre eux sont des chrétiens convertis, souvent d’origine modeste. Les Grands vizirs se recrutent presque toujours parmi eux. Coupés de leurs racines, les enfants de chrétiens élevés en turc aux frais du sultan, ainsi valorisés et bien récompensés, lui sont tout dévoués.

Économie

  • L’empire ottoman tire ses principaux revenus de l'expansion de ses armées et de ses impôts. Dès le XIVe siècle, l'État ottoman procède à des recensements (defter) pour faciliter la perception des impôts et le financement de l'armée par le système du timar, c'est-à-dire qu'un cavalier bénéficie d'une concession foncière s'il part à la guerre et qu'il fournit éventuellement un contingent de soldats. Cette concession est personnelle et son détenteur n'a aucun droit sur les occupants de sa terre sauf celui de réclamer les impôts.

  • L'économie de l'empire repose principalement sur l'agriculture, puis sur l'industrie, puis sur ses mines et enfin sur le commerce. L’agriculture dépend de l'abondance de la main-d'œuvre et des terres cultivables. La plus grande partie de la population vit sur de petites exploitations familiales, produisant sa propre subsistance et divers produits vendables sur les marchés comme le lait et la laine. Le sultan est considéré comme propriétaire des terres et du sous-sol ; il peut les céder en pleine propriété, mais aussi revenir sur ces concessions et transformer des propriétés individuelles en biens publics. La plus grande partie de l'espace rural est destiné à l'entretien de l'armée à travers le système du timar. Ainsi, chaque domaine doit pourvoir à l'entretien d'un soldat.

  • Au XVIe siècle, l'arsenal impérial ottoman, situé à Constantinople, est l'un des plus grands centres industriels de la Méditerranée. Techniquement dépassé au XVIIIe siècle, il connaît plusieurs phases de modernisation et sort son premier navire à vapeur en 1838. Il est complété par des fonderies de canon, des fabriques d'armes et des ateliers de fabrication des vêtements des janissaires. Au début du XIXe siècle, les artisans, surtout arméniens, restent actifs dans la métallurgie. En dehors des entreprises d'État, la production industrielle est largement dominée par les minorités ethniques. Selon un recensement des industries fait en 1913-1915, 50 % du capital industriel appartient à des Grecs, 20 % à des Arméniens, 5 % à des juifs, 10 % à des étrangers et seulement 15 % à des Turcs. Malgré ces efforts tardifs, en 1914, l'Empire ottoman représente moins de 1 % de la production industrielle mondiale. Il n'a aucune fabrication d'acier et dépend entièrement des importations pour son armement, son matériel de transport et ses équipements de transmission.

Administration

  • Vu l'étendue de son empire, le grand vizir Midhat Pacha met en place des subdivisions administratives dès 1840. En 1884, la loi des vilayets s'étend ainsi à tout l'empire. Grâce à cette loi, les unités administratives sont alors hiérarchisées comme suit : le vilayet, dirigé par un vali - le sandjak, dirigé par un mütesarrif - les districts, sous un kaimakam - les communes, sous un müdirf.

  • Le vali était le représentant du Sultan dans le vilayet, et par conséquent le responsable suprême de l'administration. Il était aidé de plusieurs secrétaires, chargé des finances (defterdar), de la correspondance et des archives (mektubci), des relations internationales, des travaux publics, de l'agriculture et du commerce, nommés par les ministres respectifs. Avec le président de la Cour Suprême (Mufettis-i hukka-i Seri'a), ces fonctionnaires formaient le conseil exécutif du vilayet. De plus, il y avait un conseil provincial élu de quatre membres : deux musulmans et deux non-musulmans.

Aide militaire

  • Dès l'année 1882, l'armée ottomane sollicite l'aide d'instructeurs français, allemands et britanniques afin de moderniser ses forces armées. À partir de 1909, l'Allemagne poursuit seule cette tâche ingrate avec les arrières-pensées que l'on devine. De ce fait, l'armée ottomane présente, à la veille de la guerre, des uniformes presque exclusivement d'inspiration prussienne, à l'exception de la coiffure traditionnelle, le fez. Plusieurs missions militaires se succèdent auprès de l'armée ottomane. Dès 1910, l'Allemagne devient également un important fournisseur d'armes pour l'Empire ottoman. Pendant la Grande Guerre en Orient, les généraux allemands Colmar von der Goltz, Otto Liman von Sanders, Erich von Falkenhayn et autres prennent une part croissante au commandement des forces ottomanes pour lesquelles le soutien allemand devient vital. Au cours du conflit, l'interaction entre commandements allemand et ottoman se renforce. Liman von Sanders aux batailles des Dardanelles puis de Palestine et Syrie, Colmar von der Goltz en Mésopotamie, plus tard Erich von Falkenhayn en Palestine et Syrie exercent des commandements d'armées. Toutefois, Enver Pacha et le commandement turc veillent, non sans tensions, à conserver la direction stratégique. L'influence allemande est déterminante jusqu'à la chute du gouvernement des Trois Pachas et à la capitulation ottomane, en octobre 1918, qui entraînent leur rapatriement vers l'Allemagne.
  • Par souci d'équilibre entre les puissances, le gouvernement turc décide de confier la réorganisation de la marine ottomane au Royaume-Uni. Ainsi de février 1909 à septembre 1914, 3 contre-amiraux, Douglas Gamble, Hugh Pigot Williams et Arthur Limpus, se succèdent à Constantinople avec le double titre de « conseiller naval et inspecteur de la flotte ». Ils sont accompagnés d'un nombre variable d'officiers spécialisés dans la navigation, le génie maritime, l'artillerie navale et les torpilles. La crise de l'été 1914 marque la rupture entre Ottomans et Britanniques tout en resserrant les liens avec l'Allemagne. Le 10 août 1914, les croiseurs Goeben et Breslau, deux navires de la marine impériale allemande allemande en Méditerranée, pour échapper à la Royal Navy, se réfugient dans les Dardanelles avec l'approbation du ministre de la marine, le germanophile Ahmed Djemal Pacha.

Guerre de Crimée 1853-1856

  • La guerre de Crimée oppose l'empire russe à une coalition formée de l'Empire ottoman, de la France, du Royaume-Uni et du royaume de Sardaigne. Provoqué par l'expansionnisme russe et la crainte d'un effondrement de l'Empire ottoman, le conflit se déroule essentiellement en Crimée autour de la base navale de Sébastopol. Il s'achève par la défaite de l'empire russe, entérinée par le traité de Paris de 1856.

Guerre balkanique 1912-1913

  • Cette première guerre balkanique oppose la Ligue balkanique (la Serbie, la Bulgarie, la Grèce et le Monténégro) à l'Empire ottoman, du 08 octobre 1912 au 30 mai 1913. Les armées des États des Balkans en supériorité numérique sont rapidement victorieuses. À la fin de cette guerre, les membres de la Ligue balkanique se partagent la quasi-totalité des anciens territoires européens de l'Empire ottoman. Mais en Macédoine, la Bulgarie s'estime lésée par ce partage, ce qui provoquera la deuxième guerre balkanique opposant les Bulgares à leurs anciens alliés serbes et grecs.

Guerre balkanique 1913

  • Cette seconde guerre balkanique oppose la Bulgarie à ses anciens alliés, la Serbie et la Grèce, suite aux partages des gains de la première guerre balkanique, non-conforme aux accords initiaux. Malmenés, les anciens alliés demandent l'aide à la Roumanie dont les troupes marchent rapidement sur Sofia, la capitale de la Bulgarie. Suite à cette menace, la Bulgarie demande un armistice qui débouche sur le traité de Bucarest, dans lequel la Bulgarie doit renoncer à ses revendications, céder une partie de ses gains de la première guerre balkanique à la Serbie, à la Grèce et à l'Empire ottoman, et en plus céder une partie de son territoire initial à la Roumanie, ce qui créera des différends territoriaux avec ses voisins. Cette seconde guerre balkanique provoque la rupture de l'alliance russo-bulgare, laissant la Serbie comme seule alliée de la Russie dans cette région importante. C'est pour cela que la Serbie recevra le soutien total de la Russie lors de la crise de juillet 1914.

Guerre 14-18

  • ...

Informations

  • Sultan ottoman : Mehmed V du 27/04/1909 au 03/07/1918
  • Sultan ottoman : Mehmed VI du 04/07/1918 au 01/11/1922
  • Grand vizir : Saïd Halim Pacha du 12/06/1913 au 03/02/1917
  • Grand vizir : Talaat Pacha du 04/02/1917 au 08/10/1918
  • Grand vizir : Ahmed Izzet Pacha du 14/10/1918 au 08/11/1918
  • Grand vizir : Ahmet Tevfik Pacha du 11/11/1918 au 03/03/1919

Autres civils

Système politique

  • L’Empire ottoman a développé au cours des siècles une organisation d’État reposant sur un gouvernement très centralisé avec le sultan comme dirigeant suprême, tant civil que militaire et religieux, qui exerce un contrôle effectif sur les provinces, les sujets et les fonctionnaires. L’Empire ottoman n'a pas de titres héréditaires, mais des offices révocables par le sultan, tels que les vizirs, pachas et ağas. La richesse et la position sociale ne sont pas reçues en héritage, mais peuvent être acquises par la reconnaissance des mérites. Le service militaire est un élément clé de l’avancement dans la hiérarchie. Au sommet du système politique, se trouve le sultan. compte tenu de la polygamie et de nombreuses fratries ou demi-fratries issues des harems, la compréhension de l'exercice du pouvoir doit tenir compte du jeu de relations entre le sultan, ses différentes femmes et les relations qu'il entretient ou établit avec ses enfants, ses frères et ses sœurs. Le découpage administratif de l’Empire ottoman en eyalets ou "provinces" correspond au premier recensement moderne de l’Empire turc entrepris en 1831. Ce découpage est ensuite modifié pour être remplacé en 1864 par une division en vilayets. Chaque "vilayet" est une entité administrative correspondant à une province. Chaque vilayet est administré par un vali ou gouverneur général.

Informations

  • Sultan ottoman : Mehmed V du 27/04/1909 au 03/07/1918
  • Sultan ottoman : Mehmed VI du 04/07/1918 au 01/11/1922
  • Service militaire obligatoire : 1909
  • Mobilisation générale : 02 août 1914
  • Entrée en guerre : 30 août 1916
  • Capitulation : 30 octobre 1918

Autres militaires

Tenues & décorations

Armement & équipement

Forces armées de 1914 à 1918

Forces armées en 1914

  • Troupes engagées : 490 337 soldats
  • Infanterie : ...
  • Cavalerie : ...
  • Artillerie : ...
  • Marine : 3 cuirassés, 3 garde-cotes, 3 croiseurs, 9 destroyers, 12 torpilleurs, 3 contre-torpilleurs, 20 vedettes, 19 canonnières, 7 yachts armés, 1 sous-marins
  • Aviation : 10 appareils d'observation
  • Matériel : ...
  • Animaux : 160 000 animaux

Forces armées en 1918

  • Troupes engagées : 2 870 000 soldats
  • Infanterie : ...
  • Cavalerie : ...
  • Artillerie : ...
  • Marine : ...
  • Aviation : ...
  • Matériel : ...
  • Animaux :...

Asie/Europe

  • À l'aube de la Grande Guerre, l'empire ottoman a perdu de nombreux territoires et sa superficie, qui était de 3 400 000 km² en 1900, s'est réduite à 1 780 000 km² au début de 1914. L'empire ottoman ne possède pas de colonies à proprement parlé mais occupe un territoire qui s'est largement étendu à partir de Constantinople.

Situation géographique

    L'Empire ottoman en 1914

Dates

02Août

Empires centraux

Au début du conflit, la Turquie signe une alliance avec l'Allemagne et les autres puissances centrales étant donné que son ennemi héréditaire est le Royaume-Uni. Cet accord est gardé secret au début du conflit, la Turquie gardant officiellement une position neutre pendant le début des hostilités. Parmi les signataires sont présents le Grand vizir Said Halim Pasha, le ministre de la Guerre Enver Pacha, le ministre de l'intérieur Talaat Pacha et le président du parlement Halil Bey. Le sultan Mehmed V lui-même n'a pas signé le traité !

1914

Dates

30Août

Royaume de Roumanie

La Turquie déclare la guerre au royaume de Roumanie qui entre en guerre le 28 août 1916 contre les empires centraux.

1916

Batailles de 1914 à 1918

  • Date29 octobre 1914
  • LieuCampagne de Mésopotamie
  • Troupes engagées VS
  • BelligérantsTurquie VS Russie
Détails de la bataille
  • Date22 décembre 1914
  • LieuBataille de Sarikamis
  • Troupes engagées118 000 VS 100 000
  • BelligérantsTurquie VS Russie
Détails de la bataille


  • Date26 janvier 1915
  • LieuBataille du Sinaï
  • Troupes engagées VS
  • BelligérantsTurquie Allemagne VS France Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande Royaume d'Italie
Détails de la bataille


  • Date25 avril 1915
  • LieuBataille des Dardanelles
  • Troupes engagées315 000 VS 570 000
  • BelligérantsTurquie Allemagne VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande Raj britannique Terre-Neuve France
Détails de la bataille


  • Date05 mai 1915
  • LieuBataille de Krithia
  • Troupes engagées VS
  • BelligérantsTurquie Allemagne VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande Raj britannique Terre-Neuve France
Détails de la bataille


  • Date22 novembre 1915
  • LieuBataille de Ctésiphon
  • Troupes engagées18 000 VS 11 000
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni
Détails de la bataille


  • Date07 décembre 1915
  • LieuSiège de Kut-el-Amara
  • Troupes engagées41 000 VS 31 000
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni
Détails de la bataille


  • Date23 décembre 1916
  • LieuBataille de Magdhaba
  • Troupes engagées2 000 VS 3 000
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande
Détails de la bataille


  • Date09 janvier 1917
  • LieuBataille de Rafa
  • Troupes engagées2 000 VS 5 000
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande
Détails de la bataille


  • Date08 mars 1917
  • LieuBataille de Bagdad
  • Troupes engagées25 000 VS 60 000
  • BelligérantsTurquie VS Indes britanniques
Détails de la bataille


  • Date26 mars 1917
  • LieuBataille de Gaza (1)
  • Troupes engagées
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande
Détails de la bataille


  • Date19 avril 1917
  • LieuBataille de Gaza (2)
  • Troupes engagées25 000 VS 40 000
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande
Détails de la bataille


  • Date06 juillet 1917
  • LieuBataille d'Aqaba
  • Troupes engagées1 000 VS 2 000
  • BelligérantsTurquie VS Hedjaz
Détails de la bataille


  • Date31 octobre 1917
  • LieuBataille de Beer-Sheva
  • Troupes engagées
  • BelligérantsTurquie Allemagne VS Royaume-Uni Australie
Détails de la bataille


  • Date31 octobre 1917
  • LieuBataille de Gaza (3)
  • Troupes engagées
  • BelligérantsTurquie VS Royaume-Uni Australie Nouvelle-Zélande
Détails de la bataille


  • Date19 septembre 1918
  • LieuBataille de Megiddo
  • Troupes engagées44 000 VS 69 000
  • BelligérantsTurquie Allemagne VS Royaume-Uni France Hedjaz
Détails de la bataille

Militaires

  • Total des soldats mobilisés entre 1914 et 1918 : 2 998 320 soldats
  • Total des morts et portés disparus entre 1914 et 1918 : 825 000 soldats dont 500 000 victimes de maladies
  • Total des blessés entre 1914 et 1918 : 400 000 soldats

Civils

  • Total des morts et portés disparus entre 1914 et 1918 : 4 200 000 civils
  • Nombre de victimes du génocide arménien : entre 800 000 et 1 2000 000 civils
  • Nombre de victimes du génocide assyrien : entre 270 000 et 750 000 civils

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